Résumé du 12e cours

Aussitôt libéré, Marchand va dans la cuisine et revient avec un couteau à la main. Quand il repasse près de Paul, il lui fait signe de ne pas faire de bruit. Il se dirige vers la salle de bain où les frères Carambo attendent que la baignoire soit remplie pour le "cuisiner". Ils sont maintenant persuadés que Marchand a caché l'argent chez lui. Comme ils ne trouvent pas cette argent dans l'appartement, ils comptent lui mettre la tête sous l'eau jusqu'à ce qu'il parle.
Carla est cachée dans un placard (? dans une pièce ?) avec la femme de Marchand, endormie. Elle entend des bruits violents, des coups, un cri. Elle ne sait pas ce qui se passe. En fait c'est Marchand et les frères Carambo qui se sont entretués dans la salle de bains. On aperçoit le corps de deux frères sans vie et ensanglantés.
Quand Paul ouvre la porte du placard où s'était cachée Carla, elle pousse un cri de frayeur. Paul la calme.
Ils quittent l'appartement, prennent la voiture. C'est Paul qui conduit. Il demande quelle heure il est. Il est huit heures. C'est le jour de son rendez-vous hebdomadaire avec Masson et il va être en retard.
Paul aperçoit des policiers dans la rue mais ils ne sont pas là pour lui : ils viennent d'arrêter Masson, coupable du meurtre de sa femme. Carla lui demande de ralentir. Masson les a sans doute reconnus. Carla a le temps de lire ses paroles : il parle de sa femme. Il dit qu'il l'aimait et que, maintenant, c'est fini.
Dans les dernières images du films, Paul et Carla s'embrassent. Carla a enfin réussi à conquérir son homme !
Il en a fallu des épreuves, des coups, des meurtres, du danger pour arriver à ce happy end !

Résumé du 11e cours

Paul doit donc rejoindre Carla dans la voiture dans les dix minutes. Il quitte le comptoir et s'aperçoit que Marchand n'est plus assis dans la salle, à côté de la fille en rose avec laquelle il était. Il est sans doute monté à l'appartement : le temps presse. Au moment où il va rejoindre Carla dans la voiture, sur le parking de la discothèque, Marchand qui s'est aperçu que l'argent avait disparu, le voit, l'attrape, le frappe et le ramène à l'appartement. Il lui passe les menottes. Carla est remontée sur le toit et elle observe la scène, impuissante et catastrophée. Marchand cogne fort. Paul saigne. Pour le faire parler, il lui plonge la tête dans la baignoire remplie d'eau. Paul continue à nier. Marchand, de plus en plus anxieux, demande à son homme de main, de ne pas se mêler de son histoire avec Paul, de redescendre dans la boîte et de retarder les frères Carambo, quand ils arriveront.
Marchand laisse Paul dans la salle de bains. Depuis le toit en face, Carla signale sa présence à Paul avec une torche électrique. Paul a vite repris ses esprits et combiné un plan : il met son billet d'avion dans la poche du blouson de cuir de Marchand -resté dans la salle de bain- et il explique à Carla -elle lit sur ses lèvres- ce qu'elle doit faire.
Les frères Carambo arrivent, on entend le bruit de leur altercation avec Marchand qu'ils accusent d'avoir dissimulé l'argent pour ne pas le partager. A leur tour, ils frappent Paul, violemment.
Pendant ce temps, Carla arrive chez Mme Marchand. Elle sonne à l'interphone et se fait passer pour la maîtresse de son mari. Elle est d'abord étonnée, parce que Carla ne correspond pas au type de filles qui attirent Marchand : elle n'est ni blonde, ni jolie. Carla répète les paroles d'Annie ("je ne croyais pas que ça pouvait exister... n'être plus qu'un morceau de viande...") et arrive à la convaincre.
Marchand s'approche de Paul pour lui proposer de s'allier avec lui et lui promet la moitié de sa part d'argent s'il lui dit où il l'a caché.
Mme Marchand appelle son mari, qui d'abord lui raccroche au nez. Elle rappelle, et cette fois-ci les frères Carambo, intéressés, mettent le haut parleur du téléphone et entendent la femme de Marchand accuser son mari de vouloir partir à Johannesburg et lui dire que s'il part, elle garde l'argent. Marchand est médusé. Les frères Carambo, en fureur, le frappent puis l'enferment, lui et Paul, dans le coffre de leur voiture pour l'emmener chez lui et récupérer l'argent.
Auparavant, on a vu un court plan de Masson, seul sur son canapé, en sous-vêtements, qui crie et s'enfonce la tête dans un sac. C'est un cri qui fait écho à celui de Marchand quand il a découvert la disparition des sacs poubelle.
L'appartement de Marchand est vide, appremment. Les Carambo fouillent partout à la recherche de l'argent. Ils trouvent les deux sacs poubelles, mais vides. Auparavant, on avait vu Carla mettre les billets dans un cas de voyage. Paul et Marchand sont attachés ensemble, menottés, à un radiateur. Avec sa main valide, Paul sort de sa poche un anneau de clé, qu'il détord avec les dents, et avec lequel il ouvre la serrure des menottes et libère Marchand.

(à suivre)

Résumé du 10è cours

Le dialogue jusqu'à la fin du film est ici.

Carla continue de surveiller l'appartement de Marchand toute la nuit sur le toit.

Elle a téléphoné à Paul, lui a dit d'attendre. Vers 5 heures du matin, la lumière s'allume dans l'appartement.

Carla ne voit pas grand chose : des sacs poubelles noirs qu'on porte dans l'appartement... Marchand est là, il tire le rideau.

Plus tard, dans la voiture, elle fait le compte-rendu à Paul. Il n'est toujours pas aimable avec elle ! Il voudrait savoir ce qu'il y a dans les sacs poubelle et, bien sûr, Carla ne peut pas le lui dire. Elle sait lire sur les lèvres, pas voir à travers le plastique ! Ils sont fatigués et facilement irritables.

Finalement, ce que Paul décide, c'est d'attendre que Marchand sorte de l'appartement pour s'y introduire, grâce à la clé qu'il a faite, et de prendre l'argent si c'est bien de l'argent qui se trouve dans ces sacs. Pour cela, il faut que Carla lui laisse la voiture parce qu'il ne peut pas rentrer en métro avec les sacs. Comme elle semble hésiter, il lui pense qu'elle n'a peut-être pas confiance en lui. Il lui demande aussi de passer chez lui pour lui apporter des vêtements propre parce que la femme de Marchand lui a vomi dessus.

Paul monte sur le toit et attend que Marchand sorte. Ça dure longtemps, puisqu'il a le temps de fumer toutes ses cigarettes. Il récupère des mégots pour essayer d'en refaire une.

On retrouve ensuite Masson, chez lui, interrogé par la police. L'inspecteur trouve étrange qu'il ait attendu trois semaines avant d'avertir la police de la disparition de sa femme. Ses explications (elle avait l'habitude de partir sans prévenir et d'aller chez sa soeur près de Montluçon) ne semblent pas le convaincre. Il demande ce qu'il y a à l'étage au-dessus et s'il y a une cave. On apprend qu'il n'a pas d'enfant parce que sa femme ne pouvait pas en avoir. Il a préparé, à l'attention du policier,une enveloppe avec des photos récentes de sa femme.

Ensuite, Carla va dans le studio de Paul. Elle prend des vêtements dans le placard (elle les plie et les met dans un sac en plastique). Elle reste un moment dans la chambre. Elle s'allonge sur le matelas, elle renifle le sac de couchage, puis elle fouille dans son tiroir et, là, elle découvre des photos d'identités de Paul : il y en avait quatre, il n'en reste que trois. Où est la quatrième ? Elle a un soupçon qui s'avère exact : elle trouve, caché sous la papier du fonds du tiroir un faux passeport au nom de Pierre Combescot et un (vrai) billet d'avion pour une personne et pour Johannesbourg. Elle a un accès de désespoir, elle renverse la table. Elle se sent trahie.
Pendant ce temps-là Paul travaille à la boîte. C'est la soir. Il reçoit un coup de téléphone de Carla qui est dans la voiture et qui l'informe que Marchand vient de sortir. Paul monte à l'appartement, fouille partout mais ne trouve rien. Il redescend dans une colère folle contre Carla. Elle lui demande la clé le l'appartement et monte pour chercher elle-même. Paul doit la prévenir si Marchand revient - mais il ne voit pas Marchand remonter. Heureusement Carla se cache dans un placard. Elle ne voit rien mais elle entend les bruits que fait Marchand. Quand il ressort de l'appartement, elle essaie, à l'oreille, de faire le même parcours que lui et finalement trouve les sacs dans le congélateur. elle redescend à la boîte pour prévenir Paul mais, là, elle prend les choses en mains : elle lui donne dix minutes pour la rejoindre dans la voiture, sinon elle part avec l'argent. Elle lui montre le billet d'avion qu'elle a trouvé.

Résumé du 9e cours

Le dialogue du 10e cours est ici :
http://docs.google.com/Doc?id=ah7q2ngtnr73_200hfwhtq


Paul et Carla semblent tenir le coup, plus ou moins bien. Paul avale des médicaments, il regarde le décolleté de Carla, de plus en plus féminine. Carla, visiblement fatiguée, écoute de la musique pendant la pause du déjeuner avec des écouteurs sur les oreilles et marque le mesure avec les jambes.
Paul. de derrière son comptoir aperçoit Marchand en discussion avec une femme blonde. Les frères Carambo sont encore là.
Dans la voiture, au retour, le matin, c'est Carla qui dort, cette fois-ci, pendant que Paul conduit. Pour changer de vitesse, il doit repousser les jambes de Carla, exactement comme elle avait fait auparavant.
Tout cela se passe sans paroles, les scènes sont muettes et liées les unes au x autres par la musique.
La parole revient dans l'entretien de Paul avec Masson. Paul est fatigué. Il dit à Masson que c'est à cause du travail qui n'arrête pas et qu'il a l'impression de faire les trois huit.
La scène suivantes continue sur le thème de la transformation de Carla. Cette fois-ci elle est avec Annie qui remarque que Carla se met maintenant du vernis à ongles. En fait, ce que veut Annie c'est que Carla lui garde sa fille ce soir-là, ce que Carla ne peut pas faire évidemment. Annie comprend qu'elle passe la soirée, voire la nuit, avec son "fiancé". Mais Carla n'essaie pas de jouer la comédie. Elle lui dit que Paul n'est pas son fiancé. Annie remarque aussi le décolleté de Carla, la chaîne qu'elle a autour du cou avec un bijou.
Dans la scène suivante, Carla s'habille pour aller en boîte. Elle a des baskets avec des bas résille. Elle remonte sa jupe devant le miroir pour voir l'effet produit.
Dans la boîte, où elle semble s'amuser de plus en plus, elle est avec deux garçons. Pour tester son sex-appeal ? Pour se faire remarquer par Paul et essayer de le rendre jaloux ? Paul suit la scène des yeux. Il n'apprécie pas. Jaloux ? Ou bien a-t-il déjà compris le danger qu'elle court avec eux ? Quand il voit leur table vide, il va sur le parking et empêche que Carla ne se fasse violer par les deux types.
Il la console brièvement et lui demande de remonter sur le toit parce que les frères Carambo sont là.
La blonde qui est avec Marchand est sa femme : elle est complètement saoule, il demande à Paul de la ramener chez eux en voiture. La femme de Marchand est malheureuse parce son mari a changé depuis qu'il a cette discothèque. C'est un amateur de filles jeunes et, maintenant qu'il a cette boîte, il peut en rencontrer beaucoup et les emmener ensuite dans son bureau, au-dessus. Elle demande des précisions à Paul, qui ne veut pas se mêler de ses histoires. Puis elle se met à vomir dans la voiture et sur le blouson de Paul. A ce moment, son téléphone sonne, Carla l'appelle pour lui dire qu'il n'y a personne dans l'appartement de Marchand, qu'il n'y a pas de lumière. Elle lui demande ce qu'elle doit faire, il lui dit d'attendre sur le toit. Leur conversation n'est pas très aimable !

Résumé du 8è cours

Voici le marché que Carla propose à Paul en échange de ses services : il revient travailler à la Sedim la journée et ils utilisent les voitures de la société pour se déplacer. Paul finit par accepter puisqu'on le retrouve au bureau dans le plan suivant. Carla rayonne !

Chez lui, Paul fait un double de la clé de l'appartement de Marchand à partir de l'empreinte qu'il a prise.

Carla est sur le toit, elle observe l'appartement de Marchand et elle note en sténo ce qu'ils font et ce qu'ils se disent. Elle fait le compte-rendu à Paul. Dans ce qu'elle a noté, beaucoup de choses semblent inutiles à Paul. Et beaucoup d'autres choses sont floues, par exemple il est question de "chapeau" ou "chameau", de "autour de 8" ou bien "autour du 8" et ils n'arretent pas de répéter "5, 6"... Paul sait que Marchand n'a jamais braqué personne, ce n'est pas son genre, et que son rôle est de fournir des informations aux Frères Carambo, qui feront le coup.

On retrouve ensuite Masson qui marche sur le trottoir d'une rue commerçante et s'arrête à la hauteur de la vitrine d'une épicerie fine. Il fait signe à une dame, dans le magasin. On comprend que cette dame est la soeur de sa femme. il lui demande si elle n'a pas de nouvelle d'elle parce qu'elle a disparu depuis une semaine. Il n'a pas encore prévenu la police.

Carla et Paul maintenant se changent dans les toilettes de l'entreprise, après leur nuit. Il y a une réunion houleuse dans le bureau du patron. Il s'agit d'un problème qui n'a pas été réglé et qui a provoqué l'arrêt d'un chantier. Le patron est très en colère. Carla pense que cette situation est causée par un problème psychologique avec un certain Lehaleur et qu'elle peut essayer d'arranger cela. Puisqu'il n'y a pas d'autre solution, le patron accepte.

On se trouve ensuite dans l'entrée d'un appartement. On entend la sonnette de la porte d'entrée : des coups répétés, insistants. A travers la porte en verre opaque, on aperçoit deux silhouettes. Lehaleur descend l'escalier en finissant de s'habiller (il met sa cravate) et en râlant. Les deux hommes devant la porte, c'est Paul et le videur de la discothèque qui frappe Lehaleur. Pendant ce temps, Paul téléphone à Carla que Lahaleur est de plus en plus d'accord. Et depuis le chantier sur lequel elle se trouve, Carla répond à Morel qui l'a appelée, que ça s'est très bien passé et que Lahaleur a très bien compris la situation.

Carla semble prendre goût à l'atmosphère de la discothèque. Elle monte la garde sur le toit en sautillant, autant pour se réchauffer que pour imiter les filles qu'elles a regarde danser. Elle a notamment regardé l'une d'elles qui portaient des bas résille.

ホストファミリー募集

ホストファミリー募集
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Résumé de l'épisode du 7è cours

Carla ne sait pas ce qu’est une boîte. Elle n’est jamais allée dans une discothèque. Cette discothèque s’appelle Le Rubis. Il y a un néon rouge, avec le nom, sur la façade. Paul porte également un T-shirt avec le nom de la boîte écrit en rouge sur son dos.
Carla fait la queue pour entrer. On reconnaît celui qui a cassé la figure à Paul à la Sedim : c’est l”homme de main de Marchand qui fait le contrôle à l’entrée. Il demande Carla d’ouvrir son sac pour vérifier qu’elle n’a rien d’interdit dedans : alcool, armes...

Ensuite elle va jusqu’au comptoir. Paul lui sert un gin tonic. C’est très bruyant, elle a retiré ses appareils. Elle demande à Paul de lui parler bien en face pour qu’elle puisse lire sur ses lèvres. Mais soudain, Paul aperçoit Marchand qui arrive avec les frères Carambo : il n’y a pas de temps à perdre. Il prend le verre de Carla et lui demande de sortir et de l’attendre dehors, vers les poubelles. Elle ne comprend pas très bien, mais elle y va.

Il l’entraîne dans l’escalier de l’immeuble d’en face. Il n’a aucune délicatesse pour elle : quand elle lui demande d”aller moins vite, il lui répond "magnez-vous, merde !" (se magner veut dire se dépêcher, en argot). Paul force une porte et arrive sur le toit. Le toit surplombe la région on aperçoit la tour Eiffel au loin. Carla a le vertige, il la force à s’approcher du bord pour regarder vers la fenêtre de l’appartement de Marchand, au deuxième, en contrebas. Pour cela, il lui passe la paire de jumelles qu’il a apportée. Elle se rebelle : elle ne peut pas, ou ne veut pas, lire sur leurs lèvres. Mais Paul insiste, toujours sans ménagement. Elle lui demande qui est Marchand, puis l’interroge sur les deux autres, les frères Carambo. Quand Paul lui dit qu’il était en prison avec le plus vieux des deux frères, Carla lui dit : ça va, j’ai compris, et tente de s’en aller. Elle ne veut pas entrer cette affaire. S’ensuit alors une discussion. L’argument de Paul est que, quand elle lui a demandé de braquer la voiture de Keller, elle n’avait pas de scrupules à faire une chose illégale.
Il la laisse sur le toit, parce qu’on va l’appeler à la boîte (il ne peut pas s’absenter de son travail aussi longtemps, il doit y retourner) en lui demandant de l’attendre.

De retour à son travail, Paul doit une nouvelle fois porter une bouteille de champagne chez Marchand. Il a prévu de la cire, qu’il met dans une boite d’allumettes et qui lui servira à prendre l’empreinte de la clé de l’appartement pour en faire un double. Depuis le toit, Carla l’aperçoit et se demande ce qu’il fait dans l’appartement.

Le matin, dans le train, Carla lui demande comment il va faire… Il vont finir par conclure un marché pour leur collaboration.

Résumé de la partie vue pendant le 6è cours

Masson parti, Carla demande à Paul comment ça s'est passé. Il lui explique qu'il est allé voir Marchand, dans sa discothèque, à Meudon et que ce dernier lui a proposé un arrangement : il travaille comme barman, il n'est pas payé, il garde juste les pourboires. Quand il aura gagné l'équivalent des 70 000 francs qu'il lui doit, ils seront quittes.
Carla lui demande commet il va s'arranger pour travailler à la fois la nuit à la discothèque et le jour à la Sedim. Elle n'imagine pas un instant qu'elle puisse ne plus voir Paul ! Il lui répond qu'elle n'a pas compris : c'est impossible de travailler aux deux endroits, il arrête à la Sedim. Il lui demande de lui faire une lettre de licenciement - pour rassurer Masson - et de lui laisser la permission d'occuper le studio encore une quinzaine de jours. C'est un choc pour Carla. Elle lui demande de l'attendra jusqu'à la fin de la réunion qui va commence. Quand elle revient, Paul est parti.
On la voit ensuite chez elle, l'air déprimé, devant sa table de cuisine embarrassée des restes d'un repas. (Elle a mangé un pamplemousse, il y a un yaourt Danone Bio, au premier plan peut-être des tomates cerises, au fond un bol bleu peut-être avec des chips... Bref, elle ne s'est pas fait la cuisine. Elle n'a pas le moral. Elle est minée par le départ de Paul).
On sonne à sa porte. Elle n'a pas ses appareils, elle n'entend donc pas. Enfin, presque pas. Elle remet ses appareils, entend distinctement la sonnette, se précipite à la porte. Elle espère sans doute que c'est Paul qui vient s'excuser de ne pas l'avoir attendue jusqu'à la fin de la réunion. Déception : c'est Annie qui vient lui emprunter son appartement pour le soir : elle a rendez-vous avec Richard et elle a dit à son mari qu'elle passait la soirée chez Carla et il va lui téléphoner. Carla commence par refuser, puis finit par accepter.
On la retrouve au comptoir d'un café, en face de chez elle, attendant qu'Annie et son copain -qu'elle voit arriver - libèrent son appartement.
La scène suivante est chez Masson. C'est le soir. Il est à moitié allongé sur son canapé, des écouteurs aux oreilles. Il écoute de l'opéra en buvant de l'alcool (whisky ? vin rosé ?). Il est en slip en maillot de corps, mais il a gardé son chapeau. Lui aussi (comme Carla) semble ne pas aller bien.
Pendant ce temps-là, Paul commence soin travail à la discothèque de Marchand. Il se change dans le vestiaire, puis il sert les clients au comptoir.
Au petit matin, il dort dans le train en rentrant chez lui.
Carla semble peu à peu retourner à son état antérieur : on la voit dans un train (mais l'image nous laisse penser qu'il s'agit plutôt d'une réverie que la la réalité) elle lit la conversation d'un couple sur leurs lèvres. À la Sedim, elle fait les photocopies : c'est-à-dire qu'elle n'a pas remplacé Paul. Elle n'a pas fait le deuil de l'aventure qu'elle espérait avec lui. Dans son studio, Paul dort, en se protégeant de la lumière du jour. La routine continue : ses collègues déposent leur gobelet de café sur son bureau.
Un soir, Marchand se fait monter une bouteille de champagne et trois coupes. Il est avec deux truands (les frères Carambo). L'aîné reconnaît Paul qu'il a croisé en prison. Paul devine qu'ils sont en train de préparer un coup.
À la fin de son service, il repère les lieux : l'immeuble en face de la discothèque possède une terrasse d'où l'on peut voir l'appartement de Marchand.
À la cantine de la Sedim, Carla feuillète un magazine féminin, quand Paul arrive. Il lui dit qu'il passait par là et qu'il vient lui dire bonjour. Il lui demande ce que disent ses collègues. Puis il l'invite en boîte, à Meudon.
Elle fantasme sur ce rendez-vous, qu'elle prend pour un rendez-vous d'amour.
Elle arrive en retard. Paul lui sert un gin tonic. Elle commence à lui parler, mais il lui répond sèchement qu'il n'a pas le droit de parler à la clientèle.
Un peu après, il voit arriver Marchand avec les frères Carambo.

Résumé du 5e cours

Donc, Morel - le patron de la Sedim- a demandé à Carla de porter de toute urgence le dossier des Flérets à Keller qui doit le présenter à une réunion du conseil municipal.
Elle sort du bureau, elle appelle Keller et elle lui demande de l'attendre au café devant la mairie. Paul conduit la voiture. Il écoute de la musique, très fort. Carla lui demande de baisser le son, il lui répond qu'elle n'a qu'à enlever ses appareils.
En fait, ils ne vont pas retrouver Keller, mais Carla présente elle-même le projet à la mairie. Keller finit par arriver dans le hall de la mairie, Paul l'arrête en lui disant que tout va bien. Il s'approche de la salle et entend Carla exposer le projet devant les conseillers municipaux. Il entre dans un colère violente, il frappe Carla, Paul s'interpose, Keller comprend la situation et la menace de dévoiler la machination à Morel. A ce moment, Carla sort un dossier qui contient les notes de frais et les commissions perçues indûment par Keller depuis trois et promet elle-aussi d'en parler à Morel.
Dans la scène suivante (une réunion de travail), on apprend que Keller a démissionné (pour des "raisons personnelles") et que Carla est maintenant officiellement chargée du chantier des Flérêts.
Exit ce macho de Keller. On ne le reverra plus dans la suite du film.
Carla demande à Paul de l'accompagner à une soirée pour l'anniversaire de Boubou, une de ses amies. Carla a présenté Paul comme "son ami", sans préciser davantage leurs relations, mais elle lui demande de faire comme s'ils sortaient ensemble. Annie (la mère de Paula, la femme de Jean-François et maîtresse de Richard) semble ravie que Carla ait enfin trouvé un copain.
Deux nouvelles intrigues s'amorcent.
1) La femme de Masson n'est pas rentrée dans leur maison la veille. Masson demande à une voisine si elle l'a vue. Effectivement, elle l'a vue au Super-U. Elle a aussi vu de la lumière dans la cuisine la veille au soir.
2) Quelqu'un téléphone à la Sedim pour savoir si Paul est là. Carla répond que oui, et aussitôt on raccroche. Au moment du déjeuner (il est midi et demi), un homme se présente à l"accueil et demande Paul. Carla passe au toilettes. Elle enlève ses appareils mais, malgré cela, elle entend des bruits sourds. Elle aperçoit des ombres sous la porte. Elle remet ses appareils : il s'agit bien d'une bagarre. Elle ouvre, Paul a le nez en sang. Il lui explique qu'un certain Marchand lui réclame 70 000 francs pour le lendemain. C'est une somme qu'il a empruntée au patron d'une discothèque de Meudon. Marchand est le nouveau patron et il a envoyé un homme de main pour intimider Paul et le forcer à rembourser sa dette. Carla lui passe une chemise propre, elle nettoie les traces de sang dans le lavabo. Paul lui demande si elle ne possède pas cette somme. Carla répond que non. Elle lui jure que non. Paul lui demande son après-midi.
On voit ensuite une scène (réelle ? fantasmée ?) où Carla, chez elle, essaie de joindre Paul au téléphone et au moment de mettre sa chemise souillée de sang dans la machine à laver, elle l'enfile sur son corps nu.
Le lendemain matin, elle est au bureau, quelqu'un demande Paul pour qu'il fasse des photocopies, Carla répond qu'elle les fera (on comprend donc qu'il n'est pas venu travailler), elle fait ces photocopie et elle entend une voix derrière elle qui demande si Paul est là. Un autre truand ? Non, il s'agit de Masson qui vient à la Sedim parce que Paul ne s'est pas présenté au rendez-vous le matin-même. Carla commence à inventer une histoire pour protéger Paul. Elle dit qu'elle avait dû l'envoyer d'urgence sur un chantier. Paul arrive à ce moment même, et Carla a la présence d'esprit de continuer son histoire et de faire croire que Paul est surchargé de travail.

Résumé du 4e cours

Un matin, Carla, en arrivant à la Sedim, trouve Paul sur place. Elle comprend qu'il a passé la nuit dans l'entreprise et elle finit par découvrir qu'il dort à la Sedim, dans un placard, depuis le début, dans un sac de couchage posé sur un carton.
Elle se fâche, car si quelqu'un s'en aperçoit, il se fera livencier et elle, elle aura des ennuis. Il lui explique que le foyer où il est hébergé ferme à 9 heures et que, pour lui, c'est comme la prison.
Finalement, elle lui trouve un studio dans un immeuble en rénovation.Il pourra y rester le temps que dureront les travaux, 6 mois environ.
Paul a de la peine a comprendre la trop grande gentillesse de Carla : d'abord, elle l'a embauché bien qu'il sorte de prison, en cachette de sa hiérarchie, et bien qu'il n'ait aucune compétence dans le travail de bureau. et maintenant, elle lui trouve un logement gratuit et lui donne de l'argent.
Ce qu'il en déduit c'est que Carla est amoureuse de lui. Et il veut passer à l'acte immédiatement. Trop vite pour Carla ! On a compris que, secrètement, c'est ce que Carla souhaite, mais pas de cette manière ! Paul est décontenancé.

Le lendemain, pendant une réunion interne de travail, à la Sedim, pendant laquelle le patron demande des éclaircissements sur des chantiers en retard, Carla comprend qu'un des ses collègues - Keller, un de ceux qui la méprise - a pris le dossier d'un chantier (Les Flérets) dont elle pensait s'occuper.
Rentrée dans le local de rangement de fourniture de bureau, elle a une crise de nerfs. Paul tente de la calmer. Il pense que son geste contre Carla est à l'origine de sa crise. Il lui dit qu'il accepte d'être licencié mais qu'il lui demande de ne pas révéler le motif de son licenciement.
On apprend que Carla travaille dans l'entreprise depuis 3 ans, qu'elle prépare les dossiers et que celui des Flérêts aurait dû être le premier qu'elle aurait mené jusqu'à son terme.
Elle a alors une idée machiavélique : elle demande à Paul de voler le dossier dans la voiture de Keller. Il refuse tout d'abord, parce qu'il risque de retourner en prison s'il se fait prendre. Carla lui présente cela comme un marché : il lui doit quelque chose, il a une dette envers elle (qui l'a embauché, qui ne l'a pas dénoncé) et elle lui demande de voler le dossier en échange de cette dette.
Paul force la voiture de Keller dans le parking de l'entreprise et s'empare du dossier le matin où Keller doit le présenter à la mairie.
Carla reçoit un appel de Keller qui demande à parler au patron. Et la patron demande à Carla si elle a un double du dossier. Elle a l'original. Il lui demande de la porter à Keller.

3è cours : résumé

À la SEDIM
Finalement Carla a embauché Paul Angeli: on les retrouve tous les deux dans les locaux de la SEDIM. Elle lui explique son travail : vérifier s'il reste suffisamment de papier dans les photocopieuses, apportez les fax, etc. Elle le présente au directeur, M. Morel, très pressé qui n'accorde aucune attention à lui et demande à Carla de lui apporter un café. Elle le présente comme venant de la Rank Xerox, ce qui étonne Paul. Elle lui répon assez sèchement et lui demande de mettre une cravate. L'attitude de Carla vis-à-vis de lui est ambiguë : elle oscille entre la sympathie et l'irritation.

Chez le contrôleur judiciaire

Masson se renseigne sur les vêtements que porte Paul. C'est un gars du foyer qui les lui a prêtés. Ses chaussures sont trop grandes, Masson va voir s'il en a à sa pointure. Il s'étonne que Paul ait été embauché alors qu'il n'a jamais tapé la machine, ni jamais passé de fax. Il lui répond en s'énervant.

Carla lui avait répondu : "Vous auriez préféré que je lui dise quoi ?". Paul emploie la même formule : Vous auriez préféré quoi ? que je prenne un des boulots de merde que vous m'avez proposés ? Comme balayeur dans une usine de poulets à Roissy ?"

À la SEDIM

Paul a vraiment du mal avec les machines de bureaux. On voit qu'il n'a jamais fait ce genre de travail.

Le midi, à la cafétéria, Carla lui reproche de trop manger. On continue à nous le montrer comme quelqu'un qui ne connaît pas les bonnes manières.

Pendant le repas, Carla lui demande pourquoi il est allé en prison. Comme il ne répond pas immédiatement, elle s'excuse de lui avoir posé cette question. Il lui répond que c'est parce qu'il a commis des vols aggravés et des recels. Carla et lui n'ont pas le même vocabulaire : quand elle lui parle de "plis" il ne comprends pas, et lui quand il lui parle de "centrale" ou "vol aggravé", elle ne comprend pas non plus.

C'est au cours de ce repas, qu'elle lui dit qu'elle sait lire sur les lèvres. Elle s'irrite quand il la traite de "sourdingue". Cette scène permet aussi de nous continuer à nous faire connaître les rapports de Carla avec ses collègues de bureau et de nous faire découvrir leur machisme.

Sur un chantier

On les retrouve sur un chantier. Carla, qui lit sur les lèvres, peut expliquer à Paul que le chantier est bloqué à cause d'un des fournisseur, parce que le gendre du maire, qui est l'intermédiaire, réclame une rallonge d'argent au noir (non déclarée). Paul ironise sur la manière dont se passe les affaires "honnêtes".

Dans un café

Carla est avec son amie, la mère de Paula. Elle a rencontré un homme, la dernière fois, dans la boîte de salsa. Elle ne sait rien de lui, juste son prénom. Ils se voient dans des boîtes ou des hôtels. Ils sont une relation uniquement sexuelle. La mère de Paula trouve cela formidable, ce genre de relation purement sexuelle. Carla lui dit que c'est super avec un air tout à fait dégoûté.

Le dialogue pour les deux prochains cours

Le dialogue pour les deux prochains cours (12 et 19 mai) se trouve ici :
http://docs.google.com/Doc?id=ah7q2ngtnr73_170ggk3jc
Je l'ai complété par rapport aux sous-titres pour malentendants.

Le dialogue du 28 avril

Le dialogue pour le 3è cours se trouve ici

Le lexique est mis à jour.

Deuxième cours : résumé et documents

Carla est toujours très occupée : téléphone, photocopie, accueil...On lui annonce qu'un coursier est dans l'entrée. En fait, ce n'est pas un coursier, c'est l'employé que l'Agence pour l'emploi envoie pour le poste d'assistant secrétaire.
Il s'appelle Paul Angeli. On voit dès l'abord, qu'il n'est pas qualifié pour le poste, qu'il ne "présente pas bien", contrairement à ce que Carla avait demandé...Elle l'emmène au café pour faire une sorte d'entretien d'embauche. Il boit un demi de bière, il s'essuie les lèvres avec le dos de la main, il a un tatouage au-dessus du poignet. On apprend qu'il sort de prison. Lui, pense que l'ANPE a prévenu Carla à ce sujet. Finalement, persuadé qu'il ne sera pas embauché, il décide de partir.
Carla, qui avait pris un ton supérieur vis-à-vis de lui pendant l'entretien, est déstabilisée quand elle comprend qu'elle a blessé sa susceptibilité.
On retrouve ensuite Paul Angeli, en entretien avec un contrôleur judiciaire : il doit se présenter chaque semaine à un entretien avec cet homme (qui s'appelle Masson). S'il manque deux entretiens sans raison valable, il retourne directement en prison. On comprend donc que Paul est en "libération conditionnelle" : il est sorti de prison avant la fin de sa peine, mais s'il se conduit mal, il retourne en prison.La prison centrale de Fleury-Mérogis, sur Wikipédia.
Fleury-Mérogis est à 32 km de Paris, vers le sud.

Paul Angeli est joué par Vincent Cassel

Réalisateur, acteur, producteur délégué français
Né le 23 Novembre 1966 à Paris
Fils de Jean-Pierre Cassel.
Vincent Cassel passe par l'école du cirque et l'Actor's Institute de New York avant d'entrer à Paris dans la troupe de Jean-Louis Barrault. Il fait ses débuts au cinéma dans Les Clés du paradis (Philippe de Broca, 1991). Sa rencontre avec Mathieu Kassovitz est déterminante. Le jeune cinéaste dirige le comédien et lui donne la réplique dans Métisse (1993), La Haine (1995) et Les Rivières pourpres (2000). Amis dans la vie, les deux hommes se retrouvent au casting du Plaisir et ses petits tracas (Nicolas Boukhrief, 1998).
Comédien réputé impulsif, il investit ses personnages de toute son énergie, aussi bien au travers de la violence comme dans Dobermann (1997) de Jan Kounen ou Jeanne d'Arc (1999) de Luc Besson, qu'au travers de la timidité et de l'introversion (L'Appartement). Véritable acteur-caméléon, il est capable d'incarner aussi bien un jeune précepteur de bonne famille dans L'Elève d'Olivier Schatzky qu'un chercheur d'emploi fraîchement sorti de prison dans Sur mes lèvres (2001) de Jacques Audiard.
Ayant pour compagne Monica Bellucci, il a plusieurs fois joué à ses côtés, notamment dans Le Pacte des loups (2001) de Christophe Gans, le sulfureux Irréversible (2002) de Gaspar Noé ou encore le thriller d'espionnage Agents secrets (2004) de Frédéric Schoendoerffer.
A partir de 2002, les talents de comédien de Vincent Cassel s'exportent à l'étranger : il est un "cousin" un peu trop envahissant face à Nicole Kidman dans Nadia de Jez Butterworth, incarne à l'écran le mystique Blueberry sous la direction de son ami Jan Kounen et affronte le gang des braqueurs cools de Ocean's 12 (2004).

Avec sa compagne, Monica Bellucci...

Son père, Jean-Pierre Cassel est mort le 19 avril de cette année.

Le dialogue du 21 avril

Le dialogue pour le 21 avril (Sur mes lèvres, 2) se trouve ici.

J'ai fait quelques modifications dans le lexique (lexique, 14 avril)

Premier cours : résumé et documents

Le début du film nous présente un des deux personnages principaux du film, Carla (Emmanuelle Devos).

Actrice française, née le 10 mai 1964 à Paris.

Fille de comédiens, Emmanuelle Devos quitte le lycée en classe de première pour se consacrer au théâtre. Elève au cours Florent, elle y a pour professeur Francis Huster, qui lui offrira sa première apparition à l'écran dans On a volé Charlie Spencer ! en 1986. Proche de cinéastes de la jeune génération, elle tourne dans les premières oeuvres de Noémie Lvovsky (le court Dis-moi oui, dis-moi non en 1989) et Arnaud Desplechin (le moyen-métrage La Vie des morts en 1990).

Emmanuelle Devos connaît la consécration en 2001 avec Sur mes lèvres, le thriller de Jacques Audiard : sa composition de secrétaire sourde et complexée lui vaut le César de la Meilleure actrice. Elle enchaîne avec L'Adversaire, d'après Emmanuel Carrère, dans lequel elle campe la maîtresse de Daniel Auteuil, son partenaire dans l'ambitieux western médiéval Rencontre avec le dragon. Si Bienvenue en Suisse lui permet de révéler son talent comique, Devos reste fidèle aux auteurs, à commencer par Arnaud Desplechin qui la choisit pour être l'héroïne du romanesque Rois et reine en 2004. Retrouvant également Audiard, pour une participation dans De battre mon coeur s'est arrêté, elle replonge dans l'univers trouble de Carrère à l'occasion de La Moustache (2005) et dans celui, plein de fantaisie, de Sophie Fillières (Gentille).

Elle est sourde (elle porte des appareils pour entendre, qu'elle cache sous ses cheveux). Elle travaille comme secrétaire dans une entreprise de construction, la Sedim.
Elle fait un travail assez prenant, contrairement à ses collègues (hommes), qui ont des bureaux plus agréables et un rythme de travail moins stressant. On la voit répondre au téléphone, faire des photocopies.
Elle rêve certainement au grand amour. On peut deviner qu'elle lit sur les lèvres quand elle regarde, à la cafétéria, un couple amoureux, tout ne feuilletant un magazine féminin (Elle).
Elle est méprisée par ses collègues. Ils laissent leurs gobelets de café sur son bureau. Elle renverse un gobelet abandonné sur son bureau. Au moment où elle essuie comme elle peut le café, son patron l'appelle. Elle a un malaise. Il lui propose d'embaucher un assistant.

Elle a une amie, mariée, coiffeuse, qui lui laisse sa fille à garder quand elle sort. Cette copine a des problèmes de communication dans son couple qu'elle raconte à Carla.


Le code du travail interdit la discrimination entre les hommes et les femmes, comme l'explique l'employée de l'ANPE à Carla.
Le code du travail regroupe toutes les lois et règlements qui concerne les droits et les devoirs des employeurs et des employés.
L'éditeur Dalloz (ci0contre) publie chaque année la mise à jour des textes régissant le travail.



L'amie de Carla (la mère de la petite Paula) est jouée par Olivia Bonamy.
Beaucoup d'informations sur elle se trouvent sur ce site qui lui est consacré :
http://olivia.bonamy.actricesdefrance.org/
D'après Wikipédia : Elle naît à Paris le 21 septembre 1972 dans une famille d'antiquaires. Elle réussi son bac à 19 ans et s'inscrit en Histoire de l'Art à l'Université mais n'y reste que deux mois. Elle décide rapidement de suivre des cours de théâtre qu'elle abandonne rapidement au bout de deux mois également. Elle n'aime pas les études et se lance dans les castings de théâtre et de cinéma pour réaliser son grand rêve, faire une carrière d'actrice et de comédienne.
En 1992, âgée de 20 ans, elle est repérée par Patrice Leconte qui lui propose un rôle au théâtre avec la pièce Ornifle : c’est le début d’une carrière partagée entre pièce de théâtre, film de cinéma et téléfilms pour la télévision.
Malgré sa notoriété, elle joue surtout dans des films de cinéma indépendant avec beaucoup de charme, de talent et de naturel et un certain succès.