Résumé du 10è cours

Le dialogue jusqu'à la fin du film est ici.

Carla continue de surveiller l'appartement de Marchand toute la nuit sur le toit.

Elle a téléphoné à Paul, lui a dit d'attendre. Vers 5 heures du matin, la lumière s'allume dans l'appartement.

Carla ne voit pas grand chose : des sacs poubelles noirs qu'on porte dans l'appartement... Marchand est là, il tire le rideau.

Plus tard, dans la voiture, elle fait le compte-rendu à Paul. Il n'est toujours pas aimable avec elle ! Il voudrait savoir ce qu'il y a dans les sacs poubelle et, bien sûr, Carla ne peut pas le lui dire. Elle sait lire sur les lèvres, pas voir à travers le plastique ! Ils sont fatigués et facilement irritables.


Finalement, ce que Paul décide, c'est d'attendre que Marchand sorte de l'appartement pour s'y introduire, grâce à la clé qu'il a faite, et de prendre l'argent si c'est bien de l'argent qui se trouve dans ces sacs. Pour cela, il faut que Carla lui laisse la voiture parce qu'il ne peut pas rentrer en métro avec les sacs. Comme elle semble hésiter, il lui pense qu'elle n'a peut-être pas confiance en lui. Il lui demande aussi de passer chez lui pour lui apporter des vêtements propre parce que la femme de Marchand lui a vomi dessus.

Paul monte sur le toit et attend que Marchand sorte. Ça dure longtemps, puisqu'il a le temps de fumer toutes ses cigarettes. Il récupère des mégots pour essayer d'en refaire une.

On retrouve ensuite Masson, chez lui, interrogé par la police. L'inspecteur trouve étrange qu'il ait attendu trois semaines avant d'avertir la police de la disparition de sa femme. Ses explications (elle avait l'habitude de partir sans prévenir et d'aller chez sa soeur près de Montluçon) ne semblent pas le convaincre. Il demande ce qu'il y a à l'étage au-dessus et s'il y a une cave. On apprend qu'il n'a pas d'enfant parce que sa femme ne pouvait pas en avoir. Il a préparé, à l'attention du policier,une enveloppe avec des photos récentes de sa femme.

Ensuite, Carla va dans le studio de Paul. Elle prend des vêtements dans le placard (elle les plie et les met dans un sac en plastique). Elle reste un moment dans la chambre. Elle s'allonge sur le matelas, elle renifle le sac de couchage, puis elle fouille dans son tiroir et, là, elle découvre des photos d'identités de Paul : il y en avait quatre, il n'en reste que trois. Où est la quatrième ? Elle a un soupçon qui s'avère exact : elle trouve, caché sous la papier du fonds du tiroir un faux passeport au nom de Pierre Combescot et un (vrai) billet d'avion pour une personne et pour Johannesbourg. Elle a un accès de désespoir, elle renverse la table. Elle se sent trahie.
Pendant ce temps-là Paul travaille à la boîte. C'est la soir. Il reçoit un coup de téléphone de Carla qui est dans la voiture et qui l'informe que Marchand vient de sortir. Paul monte à l'appartement, fouille partout mais ne trouve rien. Il redescend dans une colère folle contre Carla. Elle lui demande la clé le l'appartement et monte pour chercher elle-même. Paul doit la prévenir si Marchand revient - mais il ne voit pas Marchand remonter. Heureusement Carla se cache dans un placard. Elle ne voit rien mais elle entend les bruits que fait Marchand. Quand il ressort de l'appartement, elle essaie, à l'oreille, de faire le même parcours que lui et finalement trouve les sacs dans le congélateur. elle redescend à la boîte pour prévenir Paul mais, là, elle prend les choses en mains : elle lui donne dix minutes pour la rejoindre dans la voiture, sinon elle part avec l'argent. Elle lui montre le billet d'avion qu'elle a trouvé.

Résumé du 9e cours

Le dialogue du 10e cours est ici :
http://docs.google.com/Doc?id=ah7q2ngtnr73_200hfwhtq


Paul et Carla semblent tenir le coup, plus ou moins bien. Paul avale des médicaments, il regarde le décolleté de Carla, de plus en plus féminine. Carla, visiblement fatiguée, écoute de la musique pendant la pause du déjeuner avec des écouteurs sur les oreilles et marque le mesure avec les jambes.
Paul. de derrière son comptoir aperçoit Marchand en discussion avec une femme blonde. Les frères Carambo sont encore là.
Dans la voiture, au retour, le matin, c'est Carla qui dort, cette fois-ci, pendant que Paul conduit. Pour changer de vitesse, il doit repousser les jambes de Carla, exactement comme elle avait fait auparavant.
Tout cela se passe sans paroles, les scènes sont muettes et liées les unes au x autres par la musique.
La parole revient dans l'entretien de Paul avec Masson. Paul est fatigué. Il dit à Masson que c'est à cause du travail qui n'arrête pas et qu'il a l'impression de faire les trois huit.
La scène suivantes continue sur le thème de la transformation de Carla. Cette fois-ci elle est avec Annie qui remarque que Carla se met maintenant du vernis à ongles. En fait, ce que veut Annie c'est que Carla lui garde sa fille ce soir-là, ce que Carla ne peut pas faire évidemment. Annie comprend qu'elle passe la soirée, voire la nuit, avec son "fiancé". Mais Carla n'essaie pas de jouer la comédie. Elle lui dit que Paul n'est pas son fiancé. Annie remarque aussi le décolleté de Carla, la chaîne qu'elle a autour du cou avec un bijou.
Dans la scène suivante, Carla s'habille pour aller en boîte. Elle a des baskets avec des bas résille. Elle remonte sa jupe devant le miroir pour voir l'effet produit.
Dans la boîte, où elle semble s'amuser de plus en plus, elle est avec deux garçons. Pour tester son sex-appeal ? Pour se faire remarquer par Paul et essayer de le rendre jaloux ? Paul suit la scène des yeux. Il n'apprécie pas. Jaloux ? Ou bien a-t-il déjà compris le danger qu'elle court avec eux ? Quand il voit leur table vide, il va sur le parking et empêche que Carla ne se fasse violer par les deux types.
Il la console brièvement et lui demande de remonter sur le toit parce que les frères Carambo sont là.
La blonde qui est avec Marchand est sa femme : elle est complètement saoule, il demande à Paul de la ramener chez eux en voiture. La femme de Marchand est malheureuse parce son mari a changé depuis qu'il a cette discothèque. C'est un amateur de filles jeunes et, maintenant qu'il a cette boîte, il peut en rencontrer beaucoup et les emmener ensuite dans son bureau, au-dessus. Elle demande des précisions à Paul, qui ne veut pas se mêler de ses histoires. Puis elle se met à vomir dans la voiture et sur le blouson de Paul. A ce moment, son téléphone sonne, Carla l'appelle pour lui dire qu'il n'y a personne dans l'appartement de Marchand, qu'il n'y a pas de lumière. Elle lui demande ce qu'elle doit faire, il lui dit d'attendre sur le toit. Leur conversation n'est pas très aimable !

Résumé du 8è cours

Voici le marché que Carla propose à Paul en échange de ses services : il revient travailler à la Sedim la journée et ils utilisent les voitures de la société pour se déplacer. Paul finit par accepter puisqu'on le retrouve au bureau dans le plan suivant. Carla rayonne !

Chez lui, Paul fait un double de la clé de l'appartement de Marchand à partir de l'empreinte qu'il a prise.

Carla est sur le toit, elle observe l'appartement de Marchand et elle note en sténo ce qu'ils font et ce qu'ils se disent. Elle fait le compte-rendu à Paul. Dans ce qu'elle a noté, beaucoup de choses semblent inutiles à Paul. Et beaucoup d'autres choses sont floues, par exemple il est question de "chapeau" ou "chameau", de "autour de 8" ou bien "autour du 8" et ils n'arretent pas de répéter "5, 6"... Paul sait que Marchand n'a jamais braqué personne, ce n'est pas son genre, et que son rôle est de fournir des informations aux Frères Carambo, qui feront le coup.

On retrouve ensuite Masson qui marche sur le trottoir d'une rue commerçante et s'arrête à la hauteur de la vitrine d'une épicerie fine. Il fait signe à une dame, dans le magasin. On comprend que cette dame est la soeur de sa femme. il lui demande si elle n'a pas de nouvelle d'elle parce qu'elle a disparu depuis une semaine. Il n'a pas encore prévenu la police.

Carla et Paul maintenant se changent dans les toilettes de l'entreprise, après leur nuit. Il y a une réunion houleuse dans le bureau du patron. Il s'agit d'un problème qui n'a pas été réglé et qui a provoqué l'arrêt d'un chantier. Le patron est très en colère. Carla pense que cette situation est causée par un problème psychologique avec un certain Lehaleur et qu'elle peut essayer d'arranger cela. Puisqu'il n'y a pas d'autre solution, le patron accepte.

On se trouve ensuite dans l'entrée d'un appartement. On entend la sonnette de la porte d'entrée : des coups répétés, insistants. A travers la porte en verre opaque, on aperçoit deux silhouettes. Lehaleur descend l'escalier en finissant de s'habiller (il met sa cravate) et en râlant. Les deux hommes devant la porte, c'est Paul et le videur de la discothèque qui frappe Lehaleur. Pendant ce temps, Paul téléphone à Carla que Lahaleur est de plus en plus d'accord. Et depuis le chantier sur lequel elle se trouve, Carla répond à Morel qui l'a appelée, que ça s'est très bien passé et que Lahaleur a très bien compris la situation.

Carla semble prendre goût à l'atmosphère de la discothèque. Elle monte la garde sur le toit en sautillant, autant pour se réchauffer que pour imiter les filles qu'elles a regarde danser. Elle a notamment regardé l'une d'elles qui portaient des bas résille.

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Résumé de l'épisode du 7è cours

Carla ne sait pas ce qu’est une boîte. Elle n’est jamais allée dans une discothèque. Cette discothèque s’appelle Le Rubis. Il y a un néon rouge, avec le nom, sur la façade. Paul porte également un T-shirt avec le nom de la boîte écrit en rouge sur son dos.
Carla fait la queue pour entrer. On reconnaît celui qui a cassé la figure à Paul à la Sedim : c’est l”homme de main de Marchand qui fait le contrôle à l’entrée. Il demande Carla d’ouvrir son sac pour vérifier qu’elle n’a rien d’interdit dedans : alcool, armes...

Ensuite elle va jusqu’au comptoir. Paul lui sert un gin tonic. C’est très bruyant, elle a retiré ses appareils. Elle demande à Paul de lui parler bien en face pour qu’elle puisse lire sur ses lèvres. Mais soudain, Paul aperçoit Marchand qui arrive avec les frères Carambo : il n’y a pas de temps à perdre. Il prend le verre de Carla et lui demande de sortir et de l’attendre dehors, vers les poubelles. Elle ne comprend pas très bien, mais elle y va.

Il l’entraîne dans l’escalier de l’immeuble d’en face. Il n’a aucune délicatesse pour elle : quand elle lui demande d”aller moins vite, il lui répond "magnez-vous, merde !" (se magner veut dire se dépêcher, en argot). Paul force une porte et arrive sur le toit. Le toit surplombe la région on aperçoit la tour Eiffel au loin. Carla a le vertige, il la force à s’approcher du bord pour regarder vers la fenêtre de l’appartement de Marchand, au deuxième, en contrebas. Pour cela, il lui passe la paire de jumelles qu’il a apportée. Elle se rebelle : elle ne peut pas, ou ne veut pas, lire sur leurs lèvres. Mais Paul insiste, toujours sans ménagement. Elle lui demande qui est Marchand, puis l’interroge sur les deux autres, les frères Carambo. Quand Paul lui dit qu’il était en prison avec le plus vieux des deux frères, Carla lui dit : ça va, j’ai compris, et tente de s’en aller. Elle ne veut pas entrer cette affaire. S’ensuit alors une discussion. L’argument de Paul est que, quand elle lui a demandé de braquer la voiture de Keller, elle n’avait pas de scrupules à faire une chose illégale.
Il la laisse sur le toit, parce qu’on va l’appeler à la boîte (il ne peut pas s’absenter de son travail aussi longtemps, il doit y retourner) en lui demandant de l’attendre.

De retour à son travail, Paul doit une nouvelle fois porter une bouteille de champagne chez Marchand. Il a prévu de la cire, qu’il met dans une boite d’allumettes et qui lui servira à prendre l’empreinte de la clé de l’appartement pour en faire un double. Depuis le toit, Carla l’aperçoit et se demande ce qu’il fait dans l’appartement.

Le matin, dans le train, Carla lui demande comment il va faire… Il vont finir par conclure un marché pour leur collaboration.

Résumé de la partie vue pendant le 6è cours

Masson parti, Carla demande à Paul comment ça s'est passé. Il lui explique qu'il est allé voir Marchand, dans sa discothèque, à Meudon et que ce dernier lui a proposé un arrangement : il travaille comme barman, il n'est pas payé, il garde juste les pourboires. Quand il aura gagné l'équivalent des 70 000 francs qu'il lui doit, ils seront quittes.
Carla lui demande commet il va s'arranger pour travailler à la fois la nuit à la discothèque et le jour à la Sedim. Elle n'imagine pas un instant qu'elle puisse ne plus voir Paul ! Il lui répond qu'elle n'a pas compris : c'est impossible de travailler aux deux endroits, il arrête à la Sedim. Il lui demande de lui faire une lettre de licenciement - pour rassurer Masson - et de lui laisser la permission d'occuper le studio encore une quinzaine de jours. C'est un choc pour Carla. Elle lui demande de l'attendra jusqu'à la fin de la réunion qui va commence. Quand elle revient, Paul est parti.
On la voit ensuite chez elle, l'air déprimé, devant sa table de cuisine embarrassée des restes d'un repas. (Elle a mangé un pamplemousse, il y a un yaourt Danone Bio, au premier plan peut-être des tomates cerises, au fond un bol bleu peut-être avec des chips... Bref, elle ne s'est pas fait la cuisine. Elle n'a pas le moral. Elle est minée par le départ de Paul).
On sonne à sa porte. Elle n'a pas ses appareils, elle n'entend donc pas. Enfin, presque pas. Elle remet ses appareils, entend distinctement la sonnette, se précipite à la porte. Elle espère sans doute que c'est Paul qui vient s'excuser de ne pas l'avoir attendue jusqu'à la fin de la réunion. Déception : c'est Annie qui vient lui emprunter son appartement pour le soir : elle a rendez-vous avec Richard et elle a dit à son mari qu'elle passait la soirée chez Carla et il va lui téléphoner. Carla commence par refuser, puis finit par accepter.
On la retrouve au comptoir d'un café, en face de chez elle, attendant qu'Annie et son copain -qu'elle voit arriver - libèrent son appartement.
La scène suivante est chez Masson. C'est le soir. Il est à moitié allongé sur son canapé, des écouteurs aux oreilles. Il écoute de l'opéra en buvant de l'alcool (whisky ? vin rosé ?). Il est en slip en maillot de corps, mais il a gardé son chapeau. Lui aussi (comme Carla) semble ne pas aller bien.
Pendant ce temps-là, Paul commence soin travail à la discothèque de Marchand. Il se change dans le vestiaire, puis il sert les clients au comptoir.
Au petit matin, il dort dans le train en rentrant chez lui.
Carla semble peu à peu retourner à son état antérieur : on la voit dans un train (mais l'image nous laisse penser qu'il s'agit plutôt d'une réverie que la la réalité) elle lit la conversation d'un couple sur leurs lèvres. À la Sedim, elle fait les photocopies : c'est-à-dire qu'elle n'a pas remplacé Paul. Elle n'a pas fait le deuil de l'aventure qu'elle espérait avec lui. Dans son studio, Paul dort, en se protégeant de la lumière du jour. La routine continue : ses collègues déposent leur gobelet de café sur son bureau.
Un soir, Marchand se fait monter une bouteille de champagne et trois coupes. Il est avec deux truands (les frères Carambo). L'aîné reconnaît Paul qu'il a croisé en prison. Paul devine qu'ils sont en train de préparer un coup.
À la fin de son service, il repère les lieux : l'immeuble en face de la discothèque possède une terrasse d'où l'on peut voir l'appartement de Marchand.
À la cantine de la Sedim, Carla feuillète un magazine féminin, quand Paul arrive. Il lui dit qu'il passait par là et qu'il vient lui dire bonjour. Il lui demande ce que disent ses collègues. Puis il l'invite en boîte, à Meudon.
Elle fantasme sur ce rendez-vous, qu'elle prend pour un rendez-vous d'amour.
Elle arrive en retard. Paul lui sert un gin tonic. Elle commence à lui parler, mais il lui répond sèchement qu'il n'a pas le droit de parler à la clientèle.
Un peu après, il voit arriver Marchand avec les frères Carambo.